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TRACTAFRIC EQUIPMENT,
AU SERVICE DE CHANTIERS FONDATEURS

La construction d'un continent

En 100 ans, avec Tractafric, Optorg accompagne le développement d’un continent en pleine transformation. Le groupe équipe les chantiers structurants de l’Afrique d’aujourd’hui et de demain. Ils posent les bases d’un continent praticable et ouvert aux échanges grâce à une mobilité facilitée.

DES RESSOURCES À VALORISER

Au début du XXe siècle, l’Afrique équatoriale est riche en ressources naturelles, mais la plupart des travaux s’effectuent à la main. En diffusant des équipements mécaniques spécialisés dès les années 1930, Tractafric décuple les capacités de valorisation des ressources forestières, agricoles, minières et énergétiques.

Les premiers équipements mécaniques font leur apparition dans les exploitations forestières dans les années 1920, pour le travail d’abattage, de sciage et de roulage.

Wharf de la société SHO, carte postale éditée par la SHO. Exploitation forestière au Gabon.
Site minier de la Comilog, client historique du groupe, au cœur du bassin de l’Ogooué.

En 1962, le site de la compagnie minière de l’Ogooué est l’un des premiers chantiers miniers du groupe en partenariat avec Caterpillar. Près de soixante ans plus tard, ce gisement de manganèse est le deuxième plus compétitif au monde.

KIBALI : UNE MINE DE COMPéTENCES

La mine de Kibali, un des plus grands gisements aurifères d’Afrique, est un chantier représentatif des savoir-faire d’Optorg, du déploiement des puissants engins miniers aux outils technologiques les plus avancés.

Mine de Kibali

Construction d’une route au Cameroun.

L’OUVERTURE DE GRANDS AXES

Dans les années 1960-1970, les grands chantiers routiers et ferroviaires africains se multiplient, désenclavant les territoires et favorisant les échanges. Optorg participe notamment à la construction de deux des plus grandes lignes de chemin de fer du continent : le Transgabonais et le Transcamerounais.

Débutée en 2009, la construction du pipeline Tchad-Cameroun, à laquelle Tractafric participe, ouvre un chenal de 1 000 km sur des terrains extrêmement difficiles. Ce chantier occasionne le développement d’axes routiers bitumés, de canalisations d’eau et d’électricité...


Chantier du pipeline Tchad-Cameroun.

LA TRAVERSéE DU CAMEROUN

Le Transcamerounais, long d’environ 1 000 km, relie le port de Douala au Tchad et à la République centrafricaine, favorisant la circulation régionale de personnes et marchandises. Le tronçon de Yaoundé à Ngaoundéré, à la construction duquel Tractafric participe, débute en 1964 pour s’achever en 1974.

LE GABON D'EST EN OUEST

Avec 669 km de voies, le Transgabonais achemine vers la capitale l’essentiel du bois et du manganèse, importantes sources de revenus pour le Gabon. De 1973 à 1986, Tractafric équipe ce chantier pharaonique de plus de 400 machines Caterpillar, assurant la formation des conducteurs et techniciens, l’assistance technique et la maintenance sur site.


Chantier du Transgabonais.

DE L’éNERGIE À REVENDRE

Au tournant du XXIe siècle, l’énergie compte parmi les grands défis du développement africain. Tractafric développe des solutions de production d’énergie variées, répondant aux besoins tant des particuliers que des grands opérateurs.

GROUPES éLECTROGèNES

Entre 2014 et 2017, les groupes électrogènes vendus par Tractafric ont représenté une capacité de production de 100 000 kVa pour les foyers, PME et industries en Afrique.

En 2013, le groupe équipe le site minier de Kibali d’une centrale de 36 groupes CAT produisant 43MW pour alimenter la mine. Les équipes Tractafric opèrent la maintenance, assurant entre 2013 et 2019 un million d’heures de fonctionnement avec une disponibilité record !

UN éVéNEMENT
BRANCHé

En 2012 et 2017, Tractafric contribue à l’alimentation électrique de la Coupe d’Afrique des Nations, événement majeur pour le Gabon, pays hôte.

INNOVANT ET DURABLE

Tractafric développe des solutions de production d’énergie alliant performance et développement durable. Un exemple ? Les centrales hybrides associant groupes électrogènes et énergie solaire, ou encore les groupes à gaz qui récupèrent les émanations issues des extractions pétrolières, pour limiter le gas flaring.

Station de production d’énergie hybride au Maroc.